Jérôme Rothen a beaucoup fait parler de lui lors du mercato d'hiver. Un coup annoncé en Angleterre, un temps donné partant pour l'Espagne ou encore pressenti pour revenir au PSG, l'ancien monégasque a finalement été prêté pour les trois prochains mois au modeste club turc d'Ankaragücü entraîné par Roger Lemerre. Le natif de Châtenay-Malabry était pourtant à deux doigts d'effectuer son retour en France. Mal en point en Ligue 2, le FC Nantes avait songé à l'international français pour se relancer dans la course à la montée. Le président des Canaris, Waldemar Kita, aurait même été très emballé à cette idée d'autant que Rothen était prêt à faire d'importants sacrifices financiers. Un accord avait en effet été trouvé sur la base d'un salaire estimé à 10 000 euros par mois. Alors que sa venue était sur le point d'être finalisé, l'entraîneur nantais, Jean-Marc Furlan, a opposé son veto. Les raisons de son refus n'ont encore clairement été identifiés mais commence à faire des remous dans l'entourage du club. A commencer par Kita qui regrette d'avoir écouté son entraîneur. Ce nouveau "faux pas" aura-t-il des conséquences sur l'avenir de l'ancien coach strasbourgeois ? C'est possible… Une chose est sûre, l'apport de Jérôme Rothen aurait été plus que bénéfique à cette équipe plus proche du National que de la remontée en Ligue 1.=
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